Lors d’un meeting à Toulouse samedi après-midi, le candidat socialiste a notamment promis de “rendre justice” aux Français, assurant que la gauche pourrait “changer leur vie” et par la même occasion égratigner Jean-Mélenchon lors du plus grand meeting de son de la début de la campagne. Depuis son adhésion à la campagne, ses meetings n’ont pas dépassé les 1 200 militants, parfois en raison d’une crise sanitaire. Mais samedi à Toulouse 2.200 personnes, selon son groupe, sont venues entendre le candidat socialiste. En présence de la présidente de la Région Occitanie Carole Delga et des présidentes du Parlement Valérie Rabault (députés) et Patrick Kanner (sénateurs), le maire de Paris a remercié les militants “fidèles à notre invincible espérance”, malgré les sondages en berne du début de sa campagne. . La candidate, qui a reçu mardi le soutien de l’ancien président François Hollande lors d’un autre meeting à Limoges, a défendu “la gauche démocrate, laïque, la gauche de la vraie réforme, la gauche sociale et écologique, la gauche du vrai changement”, a-t-elle déclaré. qui a appris de ses erreurs, voire de ses erreurs, et devrait continuer à le faire » et « qui devrait redevenir la gauche populaire et inventive qu’elle ne devrait jamais cesser d’être ». Elle a énuméré les grandes “conquêtes sociales, sociales et démocratiques” de la gauche, comme les “congés payés”, “l’abolition de la peine de mort”, “les 35 heures” ou “le mariage pour tous”. A chacune de ces “avancées”, les militants criaient “c’est nous, c’est nous”. “Oui, dit-il, nous avons changé la vie des Français. Et oui, on peut le refaire.” La maire de Paris s’est également attaquée au bilan du président sortant, Emanuel Macron. “En 2017, il pouvait y avoir un doute. En 2022, après ces 5 ans, et surtout après l’annonce de son programme de rupture sociale, il ne peut plus y en avoir ! Emanuel Macron n’est ni de gauche ni de gauche, il est de droite et de droite ! », a-t-il lancé, avant de s’en prendre également à Jean-Luc Melanson. « Melanson est une impasse ! Il a dit, demandant “quelle ville, quel quartier, quelle région son mouvement a-t-il gagné avec son sectarisme et ses exagérations?” “.