“Le débat environnemental a fini par faire oublier ce qu’était l’extrême droite”, a déclaré Macron.
“Le débat atmosphérique a fait oublier ce qu’était l’extrême droite”, a frappé Emanuel Macron en Charente-Maritime ce jeudi, rappelant “un tandem (qui) arrive en boitant, en disant tout et vice-versa”, divise le pays. “Ils disent que le problème vient de l’intérieur du pays, ils disent n’importe quoi.” Ils disent qu’ils vont faire une réunion ensemble, que c’est main dans la main, c’est l’un qui nous dit “retraite à 64”, l’autre nous dit “62” alors qu’il a dit 60, celui qu’il ne veut pas. , je ne sais quoi, l’immigration. On n’y comprend plus rien. “Une chose que nous connaissons, c’est l’extrême droite”, a poursuivi Emanuel Macron. 14:21
“Les chasseurs font partie de la campagne”, a déclaré Emanuel Macron
Interrogé ce jeudi sur sa prise de position sur la chasse, Emanuel Macron a affiché ce jeudi son soutien aux acteurs de l’activité. “On m’a dit tout à l’heure : ‘tu es venu parler d’écologie, les chasseurs t’ont soutenu’. Oui ! “On ne va pas ruraliser nos campagnes en disant ‘on veut plus de chasseurs’. Il y a des millions de Français et de Françaises qui sont chasseurs. Parlez-moi d’écologie et expliquez-moi comment on gère l’espèce. Chasseurs, bonjour les sangliers”, a déclaré le président en campagne, en déplacement en Charente-Maritime. “Il faut réglementer, les chasseurs contribuent à ce domaine. Ce qu’on veut c’est qu’il y ait des règles du jeu, une gestion adaptative de l’espèce, c’est que quand ça commence à manquer d’animaux d’une espèce, en négociation avec le chasseur on se dise “là le pigeon est en danger”, “Il y est menacé par la tourterelle, pas de chasse cette année” Et “Quand elle sera reconstituée, on pourra le faire”, a poursuivi le dirigeant. “Donc nous nous respectons mutuellement, nous maintenons nos traditions et coutumes, mais surtout chacun joue un rôle et je ne crois pas non plus à l’opposition”, a-t-il dit. 13:14
“Il n’y a pas de tandem” : Eric Zemour réplique à Emanuel Macron
Accusé de faire un “tandem d’extrême droite” par Emanuel Macron, Eric Zemour se défend. “Il n’y a pas de tandem ni d’extrême droite. Il y a un Président qui ne fait rien, ne dit rien, ne pense rien et parie toute sa réélection sur une finale avec Marin Le Pen. Je suis le seul à pouvoir réaliser l’union des droits : le “lui seul peut le vaincre”, a déclaré le candidat sur Twitter. 13:12
« Tandem d’extrême droite » : Emanuel Macron s’en prend à Eric Zemour et Marin Le Pen
Alors que l’écart n’a jamais été aussi faible entre Marin Le Pen et Emanuel Macron au second tour, selon un sondage Elabe, le candidat à la présidentielle tente de renvoyer son rival dans les cordes. Elle l’a rejoint avec Eric Zemmour lors de son déplacement en Charente-Maritime ce matin. “Il y a un tandem d’extrême droite από porté par une tribu et un nouveau venu. Je les combats, je ne les humilie pas”, a déclaré l’Elyséen au micro de BFMTV. 9:52
Emanuel Macron se rend au QG de campagne pour motiver les troupes
Alors que les craintes d’abstention grandissent dans l’entourage du président, Emanuel Macron a rejoint mercredi après-midi la commission électorale au siège de la rue du Rocher à Paris, selon Politico, confirmé par BFMTV. Stéphane Séjourné, Christophe Castaner, Gabriel Attal étaient présents, tout comme le député Eric Woerth, un récent apostat LR. D’anciens membres du Parti socialiste récemment ralliés étaient également présents, dont Marisol Touraine et Jean-Pierre Chevènement. 8:54
Recours aux cabinets de conseil : Attal dénonce “beaucoup de manipulations en la matière, beaucoup d’instrumentation”
Interrogé ce jeudi sur CNews sur le recours aux cabinets de conseil que le gouvernement a pointé du doigt dans un rapport du Sénat, qui pointe une forte augmentation des contrats de dirigeants avec des consultants privés depuis 2018, Gabriel Attal a estimé qu’il y avait “beaucoup de manipulations dans ce dossier”. matière, beaucoup d’instrumentalisation, surtout de l’extrême droite et de l’extrême gauche ». Mercredi après-midi, les ministres Amélie de Montchalin et Olivier Dussopt ont donné une conférence de presse à Bercy sur ce dossier qui s’avère épineux pour la majorité dans la campagne présidentielle. “Il me semble sain dans une démocratie d’avoir les membres du gouvernement, en l’occurrence les deux ministres qui sont chargés de ce dossier, qui puissent rendre des comptes et répondre à toutes les questions que les journalistes se posent sur ce sujet et je le crois. ils l’ont fait hier soir”, a réagi jeudi le porte-parole du gouvernement. Gabriel Attal a affirmé que le gouvernement était “transparent”. “Nous avons toujours communiqué, nous avons partagé toutes les informations demandées par le gouvernement. « Ensuite, chaque ministre peut avoir la possibilité lorsqu’il est invité à rendre compte du recours à des sociétés de conseil par son ministère », a-t-il poursuivi. insistant sur le fait que “les ministères affiliés à des cabinets de conseil peuvent y recourir”, sans mentionner l’Elysée. 8:48
Nicolas Dupont-Aignan dénonce des “fraudes électorales”
Nicolas Dupont-Aignan critique durement les sondages d’opinion à 10 jours de l’élection présidentielle. “Tout est une arnaque car les sondages se font sur ceux qui sont sûrs de voter”, a déclaré ce matin à BFMTV le candidat de Debout la République. 8h40
Macron “ne peut pas être candidat à 100% puisqu’il est président de la République”, estime Atal
“Ce qui est certain, c’est que contrairement aux autres candidats (Emanuel Macron) il ne peut pas être candidat à 100% puisqu’il est aussi président de la République”, a déclaré jeudi Gabriel Atal à CNews. “Vous avez des candidats qui sont candidats à la présidence depuis deux ans, donc ils ont définitivement eu le temps de faire une campagne électorale. Le président est sur le front international en ce qui concerne l’Ukraine, il est sur le front de la campagne, il mène les deux, battant tambours », a-t-il déclaré. représentant du gouvernement. 8h40
Nicolas Dupont-Aignan appelle à un recours régulier aux référendums
Le candidat Debout la République veut multiplier le référendum en développant le RIC, une demande des Gilets jaunes ce matin sur BFMTV. 8:34
“Votre arme, c’est le scrutin” : Nicolas Dupont-Aignan appelle les Français à se mobiliser
Avec de faibles intentions de vote (entre 1 et 2 % dans les enquêtes d’opinion), Nicolas Dupont-Aignan envoie un message. “Votre arme, c’est le bulletin de vote”, lance ce matin le candidat Debout la République sur BFMTV. 8:26
Possible victoire de Marin Le Pen : “tout est possible”, juge Xavier Bertrand
L’écart entre Marin Le Pen et Emanuel Macron n’a jamais été aussi faible au second tour, selon un sondage Elabe pour BFMTV et L’Express. “Tout est possible. Il y a tellement de Français qui sont mécontents et qui veulent tourner la page”, a déclaré Xavier Bertrand, le lieutenant de Valérie Pécresse, sur Europe 1 ce matin. 8:17
McKinsey : “C’est tout un monde qui parasite le budget de l’Etat”, estime Nathalie Arthaud
Nathalie Arthaud est très stricte sur l’utilisation de McKinsey par le gouvernement. “On est presque dans le milliard donné à un cabinet de conseil privé pour quoi faire ? Supprimer les APL, réduire le nombre de lits d’hôpitaux, repenser le métier d’enseignant (…) C’est tout un monde qui parasite le budget de l’Etat”, désigne ce matin le candidat de Lutte Ouvrière sur France 2. 8:11
Jean Lassalle dénonce une “campagne malhonnête”
Jean Lassalle, qui envisage de se retirer de la course présidentielle, regrette l’ambiance de fin de campagne. “Cette campagne est profondément malhonnête et je la reconnais déjà comme malhonnête”, a déclaré ce matin le député des Pyrénées-Atlantiques à Radio Sud. 8:02
“Il n’y a rien à regretter” : Eric Zemour entreprend toute sa campagne
Si le second tour s’éloigne dans les sondages pour Eric Zemour, le candidat ne fait pas son autocritique. “Il y a des erreurs, mais rien à regretter. Michel Platini dit que quand il n’y a pas d’erreur, il n’y a pas de but”, a déclaré le candidat à RTL ce matin. 7:59
McKinsey : “C’est un gâchis et un scandale”, déplore Eric Zemour
Alors que le gouvernement tenait hier soir une conférence de presse pour tenter de justifier le grand appel à McKinsey, Eric Zemour prend la situation au sérieux. “C’est un gâchis et un scandale. Cette histoire révèle la mauvaise gestion de l’État. Nous avons des hauts fonctionnaires qui ne sont pas habitués à ce qu’ils pourraient faire (…). Il a déjà utilisé une vingtaine de membres du cabinet de McKinsey durant l’année 2017. campagne », déplore le candidat ce matin sur RTL. 7:48
Guerre en Ukraine : “Ça n’élimine pas le risque de changer les gens” pour Eric Zemour
Eric Zemour est revenu sur son refus initial d’accueillir des réfugiés ukrainiens avant d’adoucir finalement ses propos. “Une guerre à l’Est n’élimine pas d’un coup le problème majeur auquel est confrontée la France, le risque d’un changement des peuples qui nous menace d’ici 2050”, insiste le candidat et pourtant signe ce matin sur RTL. Nous résumons ici les propos de l’ancien journaliste sur les réfugiés ukrainiens. 6:33
Valérie Pécresse dévoile le programme de ses 100 premiers jours à l’Elysée
Le candidat républicain présentera ce jeudi, lors d’une conférence de presse, le programme de 100…