Les procureurs Michel Sastre et Marion Chabot ont insisté sur “l’urgence d’une répression justifiée par la gravité des événements et l’ampleur des dégâts causés”. Les 10 ans requis sont la peine maximale infligée pour des actes de violence volontaire ayant entraîné une mutilation. La défense des deux dentistes aura la parole demain. La décision sera ensuite débattue à la rentrée en septembre très probablement. Plus d’infos dans La Provence demain.