Sauf la forme du tweet, qui a été publié trois heures avant celui du champion du monde 2018 et qui montrait un homme montrant ses fesses et s’assimilant à Wilfrid Mbappé, son père, pour qui il réclamait “un peu de respect”Kylian Mbappé a également noté le coup porté au fond, évoquant “Le risque des paris en ligne… n’a plus de limite”.

Déjà parieur dans l’affaire du boycott

Des propos faisant écho à son boycott d’une campagne des Bleus le 22 mars avant les matchs des Français contre la Côte d’Ivoire (2-1) et l’Afrique du Sud (5-0), qui pourraient être interprétés comme, entre autres, comme une volonté de ne pas promouvoir les sponsors associés à la Fédération, notamment les marques de restauration rapide (KFC), de boissons gazeuses (Coca-Cola) et de paris sportifs (Betclic). Si elle n’a pas été contactée personnellement à ce sujet, l’avocat de Delphine Verheyden a depuis expliqué que “On ne peut plus se passer de la confrontation entre les valeurs portées par l’équipe de France d’une part et celles portées par chacun des joueurs d’autre part.”.