Montant astronomique, 1 milliard d’euros. Sociétés de conseil notamment américaines. Frais d’optimisation fiscale. Soupçons de collusion. Candidat à la présidentielle. Election présidentielle Mc Le cocktail McKinsey est explosif. Depuis six semaines à mijoter dans le feu doux de la campagne présidentielle, le voilà qui dévoile ses parfums d’intérieur : ceux d’un “scandale d’Etat”, comme disent les opposants d’Emmanuel Macron. Lire aussiQuand McKinsey conseille la stratégie vaccinale : comment les cabinets de conseil s’installent dans la gestion de l’État Ils entretiennent leur “campagne”, celle qui peut ternir l’image du chef de l’Etat, et même le faire hésiter de sa position de favori. Le danger est là, suffisamment inquiétant pour mettre toute la longévité en défense. Car malgré les deux tentatives de secours, Emmanuel Macron reste coincé dans l’affaire. Dimanche sur France 3, le chef de l’Etat a été séduit pour la première fois : “S’il y a des preuves de manipulation, qu’elles aillent au criminel.” Lundi à Dijon, il a alors tenté de se justifier : “Quand tu veux accélérer, va…

    Cet article est réservé aux abonnés.  Vous avez 77% pour le savoir.     

Cultiver sa liberté, c’est cultiver sa curiosité. Continuez à lire votre article pour 1 € le premier mois

            Déjà enregistré?  Connexion